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Le secteur du transport de personnes, notamment le VTC connaît un élan positif étant donné que les gens commencent de plus en plus à apprécier le service offert par les professionnels évoluant dans ce domaine. Le « Véhicule de Tourisme avec Chauffeur » est un excellent mode de transport pour rejoindre un lieu, pour visiter une ville ou une destination, ou pour d’autres activités nécessitant une voiture. Meilleur que le taxi, il allie discrétion, luxe, et confort. Au vu du développement de cette activité, nombreux sont ceux qui aspirent à devenir chauffeur VTC pour exercer ce métier.
A priori, ce métier ne peut pas être exercé par n’importe qui. Pour pouvoir intégrer ce milieu, le prétendant doit détenir une carte VTC, qu’il souhaite travailler pour une entreprise, ou qu’il veut être à son compte. Cette carte est un titre professionnel obligatoire qui a une valeur officielle. Elle est délivrée par la préfecture du domicile du requérant. Le détendeur de cette carte est libre d’exercer le métier sur tout le territoire français étant donné qu’elle est valable sur la zone nationale. Chaque personne aspirant à détenir cette carte doit passer un examen. La réussite à cette épreuve est devenue obligatoire depuis le 1er janvier 2017. Les épreuves se divisent en deux catégories à savoir la partie pratique, et celle qui est théorique. L’organisation de ces examens est à la charge de la CMA. Pour pouvoir se présenter à cet examen, le candidat doit être titulaire du permis B. Bien évidemment, pour être chauffeur, le permis est la première chose à absolument avoir. Par la suite, les autres prérequis sont la visite médicale passée chez un docteur agréé, le stage PSCI sanctionné par l’obtention de l’attestation y afférente, et le casier judiciaire vierge.
Après avoir obtenu la carte VTC, il revient à la personne de choisir s’il souhaite travailler pour autrui ou s’il projette d’ouvrir sa propre affaire.